Les trains boliviens sont des trains de l’extrême, tout comme le pays lui-même. Les emprunter, c’est toucher au cœur de ce qui fait la spécificité de la Bolivie. Départ de La Paz à près de 4000 mètres d’altitude pour Philippe, qui nous fait découvrir une gare particulière, et des habitants qui se sont acclimatés physiquement à des conditions de vie très difficiles. Après cette première confrontation avec la réalité bolivienne, Philippe saute dans un train qui file vers le merveilleux désert de sel, le Salar d’Uyuni, à la rencontre de ces travailleurs solitaires assis sur l’une des plus grandes réserves de lithium du monde.