En octobre 1997, à Toulouse, Patrice Alègre est escorté par les gendarmes Daniel Soucaze et Michel Roussel. Il leur indique un immeuble dans lequel il affirme avoir tué une jeune femme des années plus tôt. Les gendarmes découvrent alors que Valérie Tariote est bien morte dans l'immeuble en question, en 1989. Mais son décès a été classé en suicide, même si elle avait été retrouvée ligotée, bâillonnée, et dissimulée sous trois épaisseurs de couvertures.