Quand on fait du tort à quelqu’un, on s’expose à une peine dont l’intérêt est de prendre conscience du mal occasionné pour s’améliorer. Voilà pour la théorie. Mais les chercheurs mettent en garde contre l’effet délétère des sanctions qui peuvent, selon eux, conduire à davantage de délits. Se pourrait-il que la prison et les amendes produisent l’effet inverse de celui escompté ?